L’interstice est ce qui est entre deux choses. Pour Marx, ce mot-là était l’ensemble des îlots qui résistent. Dans un monde soumis à une loi unique, favorisons des espaces qui tentent autre chose. Multiplions les îlots. Encourageons les initiatives qui bousculent le pouvoir en place. Inventons un monde ou l’idée du marché n’est plus la règle. Construisons des espaces-temps qui permettent d’expérimenter et de concevoir qu’une autre vie est possible. Réduisons l’espace qui mène à l’utopie.
Je t’aime. Fixe ces lignes et accomplis le chemin à l’envers pour saisir mon je t’aime.
Dans l’hiver. Faudra t’il attendre le printemps pour que la vie revienne au sang ?
Je pense à toi. Je m’agrippe à ce semblant d’intelligence qui me trotte.
Froid dans la peau. Tes vocables m’échappent sur un fond ténébreux.
Je saisis ton absence. J’intercepte un bout de tes mots qui dansent.
Le blanc comme un silence. Le vent s’amène efface ton passage.
Je surprends tes pas à mon ouïe. Je surprends tes pas à mon ouïe.
Le vent s’amène efface ton passage. Le blanc comme un silence.
J’intercepte un bout de tes mots qui dansent. Je saisis ton absence.
Tes vocables m’échappent sur un fond ténébreux. Froid dans la peau.
Je m’agrippe à ce semblant d’intelligence qui me trotte. Je pense à toi.
Faudra t’il attendre le printemps pour que la vie revienne au sang ? Dans l’hiver.
Fixe ces lignes et accomplis le chemin à l’envers pour saisir mon je t’aime. Je t’aime.
Je t’aime.
Dans l’hiver.
Je pense à toi.
Froid dans la peau.
Je saisis ton absence.
Le blanc comme un silence.
Je surprends tes pas à mon ouïe.
Le vent s’amène efface ton passage.
J’intercepte un bout de tes mots qui dansent.
Tes vocables m’échappent sur un fond ténébreux.
Je m’agrippe à ce semblant d’intelligence qui me trotte.
Faudra t’il attendre le printemps pour que la vie revienne au sang ?
Fixe ces lignes et partage emprunte l’escalier pour saisir mon je t’aime.
Fixe ces lignes et accomplis le chemin à l’envers pour saisir mon je t’aime.
Faudra t’il attendre le printemps pour que la vie revienne au sang ?
Je m’agrippe à ce semblant d’intelligence qui me trotte.
Tes vocables m’échappent sur un fond ténébreux.
J’intercepte un bout de tes mots qui dansent.
Le vent s’amène efface ton passage.
Je surprends tes pas à mon ouïe.
Le blanc comme un silence.
Je saisis ton absence.
Froid dans la peau.
Je pense à toi.
Dans l’hiver.
Je t’aime.
Je t’aime.
Dans l’hiver.
Je pense à toi.
Froid dans la peau.
Je saisis ton absence.
Le blanc comme un silence.
Je surprends tes pas à mon ouïe.
Le vent s’amène efface ton passage.
J’intercepte un bout de tes mots qui dansent.
Tes vocables m’échappent sur un fond ténébreux.
Je m’agrippe à ce semblant d’intelligence qui me trotte.
Faudra t’il attendre le printemps pour que la vie revienne au sang ?
Fixe ces lignes et partage emprunte l’escalier pour saisir mon je t’aime.
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